Rencontre croisée

8 MN
Thomas « Grain de caf » Traoré Co-fondateur d’Isakin Brendan « Kayone » Backmann Artiste graffeur

À contre-courant

COLLABORATION OLOW x ISAKIN x KAYONE


Devant nous, une façade d’immeuble du 18e arrondissement de Paris, simplement recouverte d’un fond noir uni. Contrairement au passant ordinaire qui n’y voit rien de particulier, KayOne envisage sa nouvelle toile, prête à se former par ses bombes. À ses côtés, Thomas ne se laisse pas impressionner, il connaît bien le travail de son vieil ami et lui partage ses remarques, tout en sirotant son café.

D’abord spécialistes de leur indiscipline, les deux compères se sont tracé un parcours fascinant, jalonné par leurs expériences dans l’univers de l’underground. Les voici à nouveau face à une page vierge, un constant remaniement créatif.

À l’occasion des 10 ans d’Isakin, Olow s’associe à la marque Parisienne et au graffiti-artist KayOne. S’en suit un cocktail d’influences riches, dont découle une pièce emblématique. Nous avons rendu visite aux deux créateurs, au sein de leur quartier de cœur afin d’en apprendre sur ces pionniers d’une culture en contre-mouvement. 

Thomas d’abord,

peux-tu te présenter en quelques lignes ?


Moi c’est Thomas Traoré, Grain de Caf’ selon mon nom d’artiste. Je suis né dans le 19e arrondissement de Paris et ai beaucoup évolué dans le 18e, où j’ai, depuis 2013, ma propre boutique de vêtements : Isakin. 

Ma vie se résume simplement par mes deux passions : le rap et le textile. Je suis d’abord passé par la musique, au sein du collectif Octobre Rouge dès 1993, suivi d’un album solo. Après quelques années à gagner en expérience dans le secteur du vêtement, j’ai réalisé mon rêve et créé ma propre marque, distribuée dans ma boutique.

À ton tour de te présenter KayOne

Je m'appelle, de mon vrai prénom civil, Brendan, alias KayOne. J'ai grandi ici, dans le 18e arrondissement de Paris, entre La Fourche et Barbès et ai découvert le graffiti dès le début des années 80 grâce à un voyage avec ma mère aux États-Unis.

C'est rapidement devenu récurrent autour de moi, notamment au travers des comics. À l'époque: pas d'internet, donc on trainait beaucoup à la librairie du coin. C'est dans les bouquins que les libraires me laissaient feuilleter que je prenais mes premières claques visuelles. Mes premiers travaux remontent à 1985. Je fais donc partie de cette première génération de graffiti artists parisiens, qui faisait couler pas mal d'encre, sur les murs comme dans les journaux.

Thomas, tu es cofondateur et DA de ta marque depuis 2013.

Comment l’idée a germé et d’où viennent tes influences ?

J’ai toujours aimé l’avant-gardisme. Déjà dans la musique, on se plongeait avec Octobre Rouge dans une mouvance rap encore très timide et underground. Il y a 10 ans, j’avais déjà fait le pari de confectionner mes pièces en France, sur le principe de l’upcycling. C’est aujourd’hui presque devenu une norme, pourtant à l’époque c’était risqué de proposer des pièces faites à côté de chez moi.

Si je dois parler de mes premières influences, la découverte du streetwear doit être le point d’ancrage initial. Mon premier choc vestimentaire était sûrement un jogging Lacoste et une banane dans les années 80. Lorsque tu grandis dans ces quartiers, c’est tout un imaginaire visuel bien propre qui se créé. Mes inspirations ne se limitent pas à ça, j’ai toujours apprécié le vestiaire workwear et les matières traditionnelles africaines qui ont toujours été présentes au cours de ma vie. J’ajouterais une bonne touche d’influence japonaise, j’adore ce pays. Avec un regard assez pointu et créatif, je trouve que ces cultures se mélangent très bien.

KayOne, tu as commencé le graffiti à 15 ans en 1985, à une époque où le graffiti était synonyme de délinquance. Quel est ton parcours et où as-tu puisé tes inspirations pour en arriver à ton style actuel ?

Tout à fait. Par ailleurs, le terme street-art n'existait pas dans ce temps-là, c'est une invention des maisons de ventes pour légitimer le travail des graffiti-artists auprès des amateurs d'art. Pour eux, le graffiti représentait les voyous, le ghetto, alors que le terme "street-art" était plus doux, plus facile à commercialiser. Mais effectivement, à l'époque, c'était un phénomène, un vaisseau spatial, qui nous nous a même valu une émission dédiée sur France 2 où l'on s'est vraiment sentis incompris dans notre travail.

Si l'on en revient à mes débuts, l'inspiration était purement vandale. Quand tu rencontrais les autres pionniers de la culture hip-hop à La Chapelle ou Stalingrad, ils te disaient de rester très underground. Pour se faire reconnaître et respecter, il fallait passer par la visibilité et surtout la rue. Pas de commissions à ce moment, l'objectif était de rencontrer les grands, les plus vieux du mouvement. C'est comme ça que j'ai rencontré Joey et sa bande, qui ont formé NTM, un collectif qui, à ses débuts, était fondé sur le graffiti. Le mouvement rap français est arrivé bien plus tard. À cette période, je tagguais partout où j'allais et je me suis dégoté mon premier black book pour réaliser mes premières esquisses. Je vais ensuite presque tout apprendre auprès de Mode 2, le pionnier du graffiti parisien. Il a été une sorte de mentor pour mon éducation artistique, toujours très fédérateur et inspirant. 

Après quelques années à progresser dans mes styles et inspirations, je rencontre Judy Blame, le créateur londonien aux influences punk, en 1993. Après avoir beaucoup parlé de nos visions de la culture underground, Judy m'invite à Londres pour quelques semaines. J'y reste finalement une dizaine d'années. Je trainais avec tout le microcosme hiphop londonien, on se connaissait tous dans cette petite famille. J'ai pu, entre autres, réaliser des collaborations visuelles avec Hardy Blechman, créateur de la marque Maharashi, ma première expérience dans le vêtement.

Mon retour à Paris se fait en 2000. C'est une période marquante car, avec tout mon bagage artistique, j'ai développé un style très singulier, centré autour de la déformation de lettres, quelque chose de très abstrait et visuellement frappant. On s'intéressait beaucoup à ce que je faisais, je me suis donc retrouvé à dessiner des pochettes d'album et à intégrer des galeries d'art. Ce qui m'importe, c'est de toujours rester humble dans mon travail, une sorte de devise que j'ai toujours gardé en tête : c'est bon d'être important, mais le plus important c'est d'être bon. Aujourd'hui encore je cherche à renouveler mon style. Si je continuais à faire la même chose depuis mes 20 ans, j'aurais perdu 30 ans de ma vie.

Depuis combien de temps vous connaissez-vous ?

Comment s’est passée votre rencontre ?

Notre rencontre doit remonter au début des années 2000. Après avoir habité les mêmes quartiers, on s’est trouvés à travailler pour The Source, un magazine assez important dans la démocratisation du rap et de la culture hiphop. KayOne revenait d’Angleterre la tête pleine de projets et la rencontre a été plutôt explosive. Comme tu peux le voir, on ne s’est jamais quittés depuis. 

Malgré vos parcours qui vous ont emmené dans bon nombre d’univers créatifs, vous continuez à rendre hommage à la culture de vos quartiers d’origine, qu’est-ce qui explique cet attachement ?

Thomas : Si on remonte déjà aux origines de mon parcours, je trainais constamment dans le 18e arrondissement. C’est un quartier précurseur et multiculturel sur tant d’aspects. Dès mon plus jeune âge il y avait toutes mes connexions, mes potes et mes racines, je m’y sens réellement chez moi. Que ce soit dans la création graphique ou le savoir-faire, c’est une évidence de rester attaché à ces quartiers qui m’ont accompagné au long ma vie. Au-delà de ma boutique qui est située entre les pentes de Montmartre et Barbès, près de la moitié de la production d’Isakin est confectionnée dans le 18e. 

KayOne : Je suis personnellement très fier d’avoir grandi dans les milieux populaires. On cohabite et l’on s’apprécie pour ce que l’on est, pas forcément pour ce que l’on a. Le terrain vague de La Chapelle reste le point de départ de ma carrière. À travers nos messages, j’espère communiquer ce même esprit avant-gardiste qui fait la richesse de ces quartiers.

À vos yeux, qu’est-ce qui définit la valeur d’une pièce (artistique, vêtement, autre) ?

KayOne : Ce qui frappe le plus, à mes yeux, c’est la personnalité et l’originalité. En musique comme en fashion ou en peinture, ce qui m’importe c’est d’amener quelque chose de nouveau et propre à soi. Tu n’as jamais envie d’être la pâle copie de quelqu’un. Pour donner ses lettres de noblesse à une pièce, il faut qu’elle vienne du cœur et de la créativité pure. 

Thomas : Malgré les valeurs que j’essaye de transmettre avec Isakin, ce qui va faire la différence sur une pièce n’est pas un joli discours de marque, quand bien même il serait honnête. Un beau produit c’est une coupe réussie, une matière singulière, qui apportent une certaine élégance. Je porte une pièce parce que je l’aime, qu’elle correspond à mes goûts, pas parce qu’on m’a dit qu’elle était indispensable cette saison. J’ai pu développer ici un Îlot de résistance, une sorte de village d’Astérix où tout est centré autour du vêtement en lui-même, ce qu’il dégage par son authenticité.

On en vient au fruit de notre collaboration, ce cardigan

Olow x Isakin avec un artwork signé KayOne. Qu’est-ce qu’on retrouve dans cette pièce ?

KayOne : Ça me fait avant tout très plaisir. Cette collaboration rejoint en quelque sorte tout le travail que j’ai pu fournir en termes de recherche et d’évolution graphique. Pouvoir apposer mon style sur des pièces bien faites, ça représente quelque chose de très cohérent dans mon parcours. 

Thomas : Personnellement, je trouve d’abord un style graphique que j’apprécie beaucoup. En dehors du code couleur, il y a de nombreux symboles cachés qui résument bien ce que nous avons exprimé précédemment : une certaine harmonie entre l'originalité et la maîtrise du savoir-faire. Au-delà de ça, on en est à notre 3e collaboration et c’est toujours un plaisir de travailler avec Olow.

Chacun à votre manière, vous transmettez votre amour de la culture hiphop et underground, vous avez également baigné dans la musique. Si vous deviez retenir un seul classique de votre répertoire, ce serait lequel ?

Thomas : Il y en a tellement… Un des morceaux sur lesquels je reviens très souvent I’ve Got a Story to Tell de Biggie. J’y trouve tout ce qui définit le hiphop, une histoire bien racontée, de la vraie violence sur un fond d’humour et une technique de rap implacable accompagnée d’une instrumentale culte.

KayOne : En ce moment, je réécoute beaucoup de jazz, notamment les albums de chez Blue Note et du jazz-fusion de Johnny Hammond. Cependant si je ne devais citer qu’un seul classique qui exprimerait tout ce que j’aime dans l’underground, ce serait toute la discographie de The Clash. C’est le groupe contestataire par excellence, je les ai toujours suivis. J’ai même eu l’immense chance de rencontrer le bassiste Paul Simonon en 2019

Isakin & KayOne

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