Cultiver ensemble pour un éveil écologique

11 MN

Cultiver ensemble pour un éveil écologique

ÉCHANGE AVEC Antoine Devins,
co-fondateur de la sauge

C'est au coeur de l'ancien MiN (Marché d'Intérêt National) de Nantes, au sein de l'Agronaute que l'association La SAUGE a posé ses plantes, arbustes et autres micro-pouces. Fondée il y a maintenant 8 ans en région parisienne par deux amis, l'idée est de sensibiliser aux enjeux de l'agriculture urbaine, reconnecter à la nature et cultiver des savoir-faires, tout en offrant la possibilité au quidam de pouvoir s'initier à la pratique du jardinage et l'agriculture.

Nous avons profité d'une journée bénévole (tous les mardis et jeudis) pour mettre les mains au terreau et nous entretenir avec Antoine Devins, co-fondateur.

La SAUGE a été créée à Bobigny avant de s’installer aussi à Nantes, comment s’est monté le projet de l’association ?

Au tout départ, c'est une rencontre entre Sven et moi, on est tous les deux passionnés d'agriculture urbaine. Je suis ingénieur en agriculture, spécialisé en agroécologie. Ma dernière année d'études, je l'ai orientée vers l'agriculture urbaine, et j'ai fait un stage de fin d'études dans ce domaine sous le nom « freins et émergence de l'agriculture urbaine » à Paris. C'était hyper intéressant, et ça m'a permis de rencontrer pleins d'acteurs de ce secteur, mais à la fin du stage, il n'y avait pas de travail. J'ai poursuivis mes études dans le même milieu, pour continuer à fouiller, malgré le fait qu’il n’y ai pas de postes à la clef. J'ai rencontré Swen qui lui à l'époque travaillait à La ruche qui dit oui, et qui était donc aussi déjà engagé dans l'alimentation, en lien avec la vie locale.

Petit à petit, on s'est rapprochés, on a commencé à jardiner ensemble, et à trouver des terrains pour jardiner. En fait, notre première approche, elle a été de trouver des espaces où l’on puisse jardiner, et inviter nos potes à venir jardiner aussi. Donc tout de suite, on a été dans un côté participatif, de transmission des savoir-faire. 

L'idée, c'était de faire naître des jardins en ville, dans le but d'avoir des moments de convivialité, d'échanges, et de partage de connaissances, qui nous semblaient, nous, essentiels. On vient tous les deux d'un milieu rural, et on se rendait compte qu'on avait un lien à la nature qui n'était pas du tout le même que les citadins, et que la plupart de nos amis citadins. Ce lien à la nature, on avait le sentiment qu'il nous permettait d'être plus en phase avec notre manière de consommer, et on se disait, on consomme bio et local,  pourquoi est-ce que les autres ne le font pas ?

Ça a été notre angle d'approche, et ça l'est toujours d'ailleurs, se dire, en fait,  que si tu as ce lien à la nature, si tu as cette connexion là avec le potager, avec l'agriculture, la biodiversité, le cycle des saisons, tu es peut-être plus à même de te poser les questions sur ce que tu as dans ton assiette et de te rendre compte de plein de choses, que ce soit du prix, des saisons, de la difficulté d'accéder à certains produits et l'impact qu'on a en tant que consommateurs

Comment l'avez-vous transformé en projet ?

On s'est mis à jardiner ensemble, et on s'est vite rendu compte qu'il nous fallait des espaces. Après s’être fait virer d’un premier terrain on a réalisé qu’il fallait qu'on se professionnalise un minimum pour répondre aux différents appels à projets qui étaient lancés. Le fait de structurer une association, ça nous a permis de mettre toutes les idées qu'on échangeait noir sur blanc. Il a fallu écrire des statuts, réfléchir à l'organisation qu'on voulait avoir. C'était un peu plus organisé que juste des copains qui jardinent ensemble.

Passer de ça, à une association avec une histoire et une raison d’être, ça changeait la donne quant au fait d’aller vers des mairies pour accéder à des terrains. Il fallait être un peu plus sérieux, tout simplement. Donc dans un premier temps, c'était ça, on a commencé à chercher le terrain. On a fait un jardin sauvage sur la Petite Ceinture et on a répondu à un appel à projets qu'on a perdu. Au bout de six mois, on a été accueillis par le Grand Control, où on a pu faire nos premiers jardins et découvrir le fait de faire du jardinage collectif, participatif et convivial dans un lieu de fête, ça allait plutôt bien ensemble. Ça nous a nourri dans l'idée de créer ensuite des fermes urbaines qui sont à la fois festives, récréatives, avec une forte partie culturelle et toujours un socle d'animation, de pédagogie. Et après, la partie production agricole est venue s'ajouter en troisième bloc. C’est au final les trois activités qu'on a aujourd'hui à la SAUGE.

L’Agronaute est la deuxième ferme créée par La SAUGE, comment est arrivé ce projet ?

C'est la Ville de Nantes, la Samoa, CDC Habitat, les Cinq ponts et l'association Les Eaux Vives, qui ont, en créant les Cinq ponts, lancé un appel à projet pour trouver un exploitant pour les fermes sur les toits. 

C'est tombé pile au moment où moi, j'avais le souhait de venir habiter à Nantes. On avait envisagé quitter Paris donc ça correspondait très bien avec mon projet personnel. Avec Sven on était co-directeur, lui est devenu directeur général et moi, je suis devenu directeur plutôt de La SAUGE Nantes, directeur régional. 

On a aussi désormais trois fermes à Paris Bobigny, Aubervilliers et Saint-Denis.

Comment le côté festif touche-t-il vos visiteurs ?

On a quand même le sentiment qu'il y a plein de gens qui sont venus en journée bénévole car ils étaient venus à une fête au départ. En fait, et j'en suis persuadé, on a acquis une notoriété grâce à ça. 

Quand on a créé la Prairie du Canal, on a commencé à faire des soirées avec Cracki Records. Les mecs, ils remplissent le lieu, ils te mettent 1 000 personnes. Nous, on avait beau dire... C'était très, très gros. 

On a essayé de faire des soirées pour faire connaître le lieu. Et puis, d'un point de vue purement économique aussi, vendre de la bière. Ça permettait de faire du cash tout de suite et donc, de développer d'autres activités. En plus de ça, ça nous a apporté une énorme notoriété. Le grand public a commencé à nous connaître grâce aux événements, donc c'est assez clairement un bon moyen de communication.

Quand vous avez monté La SAUGE, vous aviez la vision aussi de ce qui se passait ailleurs en France ? Des autres projets d'agriculture urbaine ?

Il n'y avait pas grand-chose au début. À l'époque, tout se passait à Paris. Évidemment, il y avait des gens qui faisaient de l'agriculture urbaine ailleurs, mais plutôt sous forme semi-pro, pro, aménagement de jardin. Ça a monté petit à petit. Les associations nantaises, Nantes Ville Comestible et Beautiful, je ne sais pas combien d'années elles ont exactement, mais ça doit être comme nous. On les a connus parce qu'on a créé un événement qui s'appelle « Les 48 heures de l'agriculture urbaine », dans l'idée de faire jardiner toutes les villes de France sur un week-end en même temps. En lançant cet événement-là, on a commencé à se connecter avec tous les acteurs en province. 

C'est vraiment en 2017 qu'on a commencé à connaître le maillage national des acteurs de l'agriculture urbaine. Avant, c'était vraiment très centré sur la région parisienne. Même si je crois qu'encore aujourd'hui, tu dois avoir presque la moitié qui doit être à Paris. Maintenant, il y a une association qui regroupe tous les professionnels du milieu c’est l'AFAUP (Association Française d'Agriculture Urbaine Professionnelle), ça va faire 9 ans en février 2024.

Pourquoi c’est si important pour vous de permettre à tout le monde de jardiner ?

Si on doit résumer en une phrase, nous, l'objectif, il est de sensibiliser à la transition écologique qu'on doit réaliser : ça passe par la pratique du jardinage. Mais pas que, on a quand même beaucoup d’activités. Globalement, on souhaite que tout le monde jardine deux heures par semaine et on souhaite favoriser la pratique d'une activité agricole au plus grand nombre.

Ensuite, toutes nos actions vont aller un peu plus loin que de faire jardiner les gens, avec par exemple, des événements culturels pour sensibiliser les gens à ces thématiques-là. En les attirant par le biais d'un concert et d'une soirée, on les retrouve dans une ferme urbaine, et donc, peut-être revenir voir soit d'autres événements en lien avec cette thématique, soit venir jardiner sur les journées bénévoles. Sur ces temps là, il y a l'entretien du jardin où on est vraiment sur du jardinage. Mais en fait, quand on fait de la pépinière, là, on est sur une activité agricole. On est des professionnels, on est pépiniéristes. Il y a vraiment des savoir-faire professionnels et donc un spectre hyper large.

La question de savoir pourquoi on fait ça, la première chose à savoir, c'est qu'on veut sensibiliser un maximum de monde à ces sujets-là. On est persuadé qu'en étant sensibilisés à ces thématiques-là, on se pose de bonnes questions, il y a des prises de conscience qui peuvent se révéler. On peut aussi peut-être agir sur notre manière de consommer, notamment en ville.

On interagit aussi avec le monde paysan et le monde rural, en essayant de le mettre en lumière. Il y a plein d'externalités qui vont, pourquoi pas, susciter des vocations agricoles, par exemple, via le fait de pouvoir venir une journée ou deux par semaine s’initier, pratiquer et se confronter vraiment au monde agricole. Là, on a une alternative qui est assez intéressante parce qu’il y a possibilité de se mettre au 4/5 et venir faire ça juste un jour par semaine. Même en étant au chômage, il n’y a pas obligation de quitter Nantes, ni sa vie de famille. L’étape d'après, ça serait pourquoi pas, être formateurs.

Pour toi, en quoi ces fermes urbaines, elles aident à la transition écologique des villes de manière plus globale ?

Par rapport à l’Agronaute, il y a les activités que j'ai citées, mais il y a aussi le fait qu’on accueille 13 structures qui sont tous acteurs de la transition écologique, c'est un peu la spécificité à Nantes qu'on n'a pas sur nos autres fermes.

C’est autant d'acteurs qui vont soit tester leur modèle professionnel et qui sont des gens qui sont acteurs de la transition par leur métier, soit qui sont aussi dans la transmission de savoir-faire et dans la transmission au plus grand nombre. Ils vont avoir un rôle de sensibilisation.

Appala, par exemple, qui est une association qui fait de la low-tech. C’est un sujet que nous, on ne touche pas du tout, mais auquel on est forcément sensibles. Ils vont faire des ateliers de réparation de vélo de manière hebdomadaire ou alors un gros événement annuel autour de la low-tech qui va forcément sensibiliser, toucher les gens sur ces thématiques-là. C'est en ça qu'on a un impact direct sur les citadins et mais pas que. Est-ce qu'on touche les gens de la région ? Peut-être pas la région, mais en tout cas, sur la métropole, c'est sûr.

Depuis la région parisienne où ça a commencé et jusqu'à aujourd'hui, est-ce que tu as vu l'évolution de la fréquentation et de l'attrait des gens pour ça ?

C'est toujours hyper compliqué de répondre à cette question parce que moi, je n'ai pas l'impression. C'est juste qu’au final, nous, on a cessé de grandir. Est-ce que notre structure a grandi parce que les gens sont de plus en plus intéressés à ces sujets-là ou est-ce que tout simplement parce qu'on s'est professionnalisés et en grandissant ? On a aussi l'offre qui a grandi. C'est-à-dire que si au départ, on faisait juste du jardinage entre copains, maintenant on a une offre pédagogique qui s'adresse de la maternelle à la maison de retraite, on travaille avec des associations qui travaillent avec les migrants, avec les personnes en exclusion sociale, avec des jeunes handicapés, avec des jeunes en échec scolaire.

On se rend compte qu’en se spécialisant vers ces publics là, il y a plein d’associations qui sont hyper preneuses pour ce genre de contenus. Pareil pour les plantes. On me pose souvent la question, de savoir si le Covid avait marqué une évolution. En fait, la pépinière à l’Agronaute, on l'a lancée en 2020, l'année du confinement. Donc évidemment, ça a été un super démarrage pour nous parce que les gens restaient chez eux, ça a donc permis de partir en flèche. Donc on ne peut pas vraiment savoir si c’est ça qui a fait évoluer les choses.

Mais même si on avait eu une saison avant, on a démarré le métier de pépiniériste réellement en 2019, à la Prairie du Canal, et en 2020 à Nantes. Donc en fait, ça ne fait que 5 ans qu'on fait ce métier-là. D'année en année, on progresse. C'est hyper dur d'avoir du recul. Ça a quand même rencontré un succès. En tout cas les gens ont répondu à présent dès que ça a ouvert. Mais finalement, en fait, en 8 ans d'existence, l’Agronaute n’a au total que 4 ans, avec une année de Covid. C'est hyper dur de tirer des conclusions sur 4 ans.

Donc en fait, qu'est-ce qui fait que maintenant, on attire du monde ? Il y a toujours eu des bénévoles à venir, mais là, cette qualité-là de participation, cette année, on se rend compte qu'elle est géniale. C’est aussi grâce à Julie qui a mis énormément d'énergie à développer cette partie-là. Avant, peut-être qu'on prenait moins soin de nos bénévoles. Il y en avait toujours, mais la qualité du service, elle ne revenait pas. Et on pense savoir pourquoi. Parce qu’au fond il faut fédérer.

Notre thème de collection de cette saison c’est « Better Together » pour mettre en avant l’idée du besoin vital de reconnexion à la nature, de réconciliation entre l’être humain et le monde du vivant. Qu’est ce que ça t’évoque ?

C’est complètement essentiel pour moi, puisque clairement, c'est ce que prône aussi La Sauge. C'est de ramener de l'agriculture en ville pour se reconnecter, se rapprocher de ça. Ce rapport à la nature, il est essentiel. Et j'ai l'impression de m'en être nourri étant plus jeune. Ça a créé une vocation chez moi. J'ai grandi au sud de Rennes, dans un petit village et je me suis rapproché de la ville petit à petit.

À partir du lycée, j'étais en ville, mais j'habitais encore à la campagne et après, j'ai rencontré la ville et j'ai trouvé ça génial. Je me suis dit, réussir à allier les deux, ça serait incroyable. C'est qu'en fait, toutes les villes ont été créées vraiment en coupure avec le monde paysan, le monde agricole mais aussi avec la nature. Après, je vois le monde paysan comme un espace naturel, alors qu'en fait, ce n'est pas tout à fait vrai. Mais bon, ils sont déjà beaucoup plus proches de la nature que les citadins. Il y a un peu une scission alors qu’il faudrait, je trouve, qu'il y ait un peu plus de porosité entre les deux. L’agriculture urbaine est un super outil pour ça. Mais maintenant, avec 8 ans de recul, j'ai le sentiment que ce n'est pas suffisant.

J'ai envie d'aller plus loin. Et est-ce que ça se fera avec La Sauge ou pas, je ne sais pas. Mais maintenant, j'ai envie d'aller emmener aussi des gens à sortir de la ville et à aller vraiment en pleine nature. Enfin au moins à aller se connecter au monde agricole, mais un monde agricole qui est respectueux du vivant, là où la nature prend plus de place, parce que t'as plus d'arbres, plus de biodiversité, moins d'espaces pseudo-naturels qui ont été façonnés par l'homme.

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